http://www.asyura2.com/13/genpatu33/msg/417.html
Tweet |
福島事故を収拾できない日本政府、自滅する東京電力ー「嘘をつく東電」から「無能の東電」へ/ルモンド紙(9月3日) http://t.co/SCi4Y26gox
— 秋原葉月 (@akiharahaduki) September 5, 2013
==============================================
【関連記事】
フクシマは、原子力への信頼を汚染した―ル・モンド紙
イル・サンジェルマンの散歩道 August.27.2013 東北地震・福島原発事故
http://billancourt.blog50.fc2.com/blog-entry-1001.html
8月26日付 Philippe Pons 記者
ほぼ2年半以来、不安にさせ、そしてうんざりさせるニュースが、2011年3月11日の津波によって事故を起こした福島原発から届いている。不安にさせるニュース、それは8月22日に東京電力の原発当事者が、2011年5月以降太平洋に流出した汚染地下水に含まれる放射性元素(セチウム、ストロンチウム)の量が、30兆ベクレルであると算定したことである。また8月21日に原子力規制委員会が、欠陥の貯水タンクから300トンの汚染水が太平洋に流出したことを、「重大な事故」と評価したことである。最終的にこの放射能監視機構は、日和見主義を脱して、二日後に貯水タンクの充分な管理を怠ったとして東京電力を喚問した。最初の影響は、6月に福島沖で再開した漁業が、9月に中止になることであろう。
これらのニュースがうんざりさせるのは、その不透明性によってである。2011年12月に原子力監督機関は、原発は安定しており、原子炉の「冷温停止状態」が宣言されたと明言した。しかしきわめて深刻な問題がくりかえし起こり、事故後の管理において東京電力は今でも新たな破綻をきたしているのではないかと疑ってしまうのである。
明らかに事故の大きさが手に負えなくなった東京電力の怠慢、原発(50基のうち48基は停止中)の再稼働によってより不安を大きくしている国の無反応、それにチェルノブイリの事故(1986年)以来最大の原発事故を起こした、日本の原子力技術の輸出にかんする将来の契約が加わるのである。
8月24日から中東を訪れた安部首相は、日本の原子力技術の奨励を目的として、福島の事故から引き出した「教訓」を交渉相手に売りつけている。事故を起こした原発の状況をみると、その商品カタログはいささか説得力に欠ける。さもなければ場違いである。事故の管理にたいする国の日和見主義、以前の機関より強化されてつくられたはずの放射能調整機関(2012年10月)の強権の欠如、朝日新聞は「日本は海外の信頼を損なった」と書いている。
東京電力は2012年10月、防護工事に着手すると原発を停止しなければならないことを怖れ、津波の危険性を過小評価していたことをやっと認めた。それ以後、事故の前後についての原発当事者の隠蔽、真偽半々、紛れもない嘘が続いて発覚した。監督省庁は事故原因を、作動装置まで至った自然災害によることは確かであると判断し、この惨事についての人的責任の問題を問わなかった。しかし国会の事故調査委員会の調査は、それが予測可能であり、あるいは少なくとも事故を最小限にとどめる措置はとり得たことを示した。利益は企業にとって原則である。しかし東京電力(そしておそらく、自然災害による「不運」に見舞われなかった他の原発当事者も)のように、人命を危険にさらすことを引き換えにしてよいというものではないであろう。汚染地域から避難した15万人の人びとが、いまだに仮設住宅で生活しているのである。
非難されるべき不透明性
東京電力は巨大な問題に直面した。現場で社員と下請けの労働者が、臆することなく大きな危険に身をさらしながら作業をしていることは敬意すべきことである。しかし経営陣はこの事故を、非難されるべき不透明性によって、依然として「内部」の問題として取り扱おうとしている。利益か原子力エネルギーの否定か、安全性か安全性の費用負担の拒否かについての判断がどのようなものであったとしても、福島の事故は原発当事者そして国による原発の管理、少なくとも危険性にたいする管理についての疑問をかき立てる。日本はフクシマによって、痛ましさを象徴するもののひとつとなっている。しかしそれはここに限ったことではない。
原発当事者、国の機関、研究分野の一部、そしてマスコミのあいだの共謀(日本では「原子力ムラ」と呼ばれている)という悲しむべき事態は日本に限らない。
2週間前に台湾の政府当局者は、日本の原発のひとつが3年ものあいだ汚染水を放出していたことを明らかにし、原子力の安全性についての討論の口火を切った。韓国では、世論が不安を抱いた。8月21日、ヨングァンの6基の原子炉が稼働を停止した。2012年11月に起こった原発部品の性能証明書の偽造というスキャンダルのあと、この偽造をもたらした汚職事件の調査のため、3基の原子炉が停止した。現在23基の原子炉を設置している韓国は、2030年までに新たに16基を建設する計画をもっている。これによって原子力発電のシェアは30%から59%に高まる。しかし原子力エネルギーに好意的な意見は、今年の調査で71%から35%に落ち込んだ。
福島の事故に続いて、原子力エネルギー―あるいは少なくともそれを管理する手段―にたいする信頼への危機は、日本列島を越えて広がることになるであろう。
Fukushima contamine la confiance dans le nucléaire Le Monde 26 août / Par Philippe Pons
Depuis près de deux ans et demi, des nouvelles aussi alarmantes que déprimantes arrivent de la centrale nucléaire de Fukushima, accidentée lors du tsunami du 11 mars 2011. Alarmantes, elles le sont par leurs conséquences : le 22 août, l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco) a estimé à 30 000 milliards de becquerels la quantité d'éléments radioactifs (césium et strontium) contenus dans les eaux souterraines qui se déversent dans l'océan Pacifique depuis mai 2011. Le 21 août, l'Autorité de régulation du nucléaire avait qualifié d'"incident grave" le déversement dans le Pacifique de 300 tonnes d'eau contaminée d'un réservoir défectueux. Sortant de son attentisme, l'organe de surveillance des activités nucléaires a finalement mis en cause Tepco deux jours plus tard pour ne pas avoir surveillé suffisamment ses réservoirs. Première conséquence : la pêche au large de Fukushima, qui avait repris en juin, sera arrêtée en septembre.
C'est par le manque de transparence qu'elles révèlent que ces nouvelles sont déprimantes. En décembre 2011, les autorités nucléaires avaient affirmé que la centrale était "stabilisée" ; ses réacteurs avaient été déclarés "en état d'arrêt à froid". Mais, depuis, surviennent à répétition des problèmes si graves que l'on peut se demander si, dans sa gestion des suites de l'accident, Tepco n'est pas en train de créer un nouveau désastre.
Aux carences de Tepco, visiblement dépassé par l'ampleur de la catastrophe, s'ajoute la passivité de l'Etat, qui semble plus préoccupé par le redémarrage des centrales (48 sur 50 sont à l'arrêt) et les futurs contrats d'exportation de la technologie nucléaire nippone que par le plus grave accident nucléaire depuis celui de Tchernobyl (1986).*
En tournée au Proche-Orient à partir du 24 août, le premier ministre, Shinzo Abe, vante auprès de ses interlocuteurs les "enseignements" tirés de l'accident de Fukushima pour promouvoir la technologie nucléaire japonaise... Au vu de la situation de la centrale accidentée, l'argumentaire paraît quelque peu affaibli, sinon déplacé. L'attentisme de l'Etat dans la gestion de la catastrophe et le manque de poigne de l'Autorité de régulation nucléaire, supposée à sa création (octobre 2012) être plus armée que la précédente instance pour se faire entendre, "entament la crédibilité du Japon à l'extérieur", écrit le quotidien Asahi.
En octobre 2012, Tepco avait fini par reconnaître avoir minimisé les risques de tsunami par crainte de devoir fermer la centrale pour procéder à des travaux. Depuis se sont succédé des révélations sur des dissimulations, des demi-vérités ou tout bonnement des mensonges de l'opérateur avant et après l'accident. Les autorités s'interrogent sur les causes de l'accident – attribué à une catastrophe naturelle qui en fut certes le déclencheur –, sans se poser de questions sur les responsabilités humaines de ce drame, alors que l'enquête d'une commission parlementaire a montré qu'il était prévisible ; ou, à tout le moins, que des mesures auraient pu être prises pour en limiter les effets. Le profit est la règle pour une entreprise, mais peut-être pas au prix d'une mise en danger de vies humaines comme l'a fait Tepco (et sans doute d'autres opérateurs qui n'ont pas eu la "malchance" de subir une catastrophe naturelle) : 150 000 personnes évacuées des zones contaminées vivent toujours dans des logements provisoires.
COUPABLE ABSENCE DE TRANSPARENCE
Tepco est confronté à des problèmes énormes et le dévouement sur le site de ses employés et de ceux des entreprises sous-traitantes qui prennent des risques considérables doit être salué. Mais la direction continue à chercher à traiter cette catastrophe "en interne", avec une coupable absence de transparence. Quel que soit le jugement que l'on porte sur les avantages ou non de l'énergie nucléaire et sur la sécurité ou non qu'elle offre, la catastrophe de Fukushima incite à s'interroger sur la gestion de cet outil, à tout le moins dangereux, par les opérateurs et les Etats. Avec Fukushima, le Japon est un cas tristement exemplaire. Mais il n'est pas le seul.
La collusion entre les opérateurs, les institutions étatiques, une partie du monde de la recherche et des grands médias (ce que l'on nomme, ici, le "village nucléaire") n'est pas le triste privilège du Japon.
Voilà deux semaines, les autorités taïwanaises ont révélé qu'une des centrales de l'île avait enregistré pendant trois ans des fuites d'eau contaminée, ouvrant un débat sur la sécurité du nucléaire. En Corée du Sud, l'opinion s'inquiète : le 21 août, un des six réacteurs de la centrale de Yeonggwang a cessé de fonctionner. A la suite d'un scandale de faux certificats de sécurité de pièces détachées, qui a éclaté en novembre 2012, trois réacteurs ont été arrêtés pour enquête sur les pots-de-vin qui ont accompagné ces falsifications. La Corée du Sud, qui dispose de 23 réacteurs, envisage d'en construire 16 autres d'ici à 2030, pour faire passer la part de l'électronucléaire de 30 % à 59 %. Mais le nombre de Coréens favorables à l'énergie nucléaire était tombé de 71 % à 35 % cette année.
Avivée par la catastrophe de Fukushima, la crise de confiance en l'énergie nucléaire – ou du moins en la manière dont elle est gérée – tend à s'étendre au-delà de l'Archipel.
これらのニュースがうんざりさせるのは、その不透明性によってである。2011年12月に原子力監督機関は、原発は安定しており、原子炉の「冷温停止状態」が宣言されたと明言した。しかしきわめて深刻な問題がくりかえし起こり、事故後の管理において東京電力は今でも新たな破綻をきたしているのではないかと疑ってしまうのである。
明らかに事故の大きさが手に負えなくなった東京電力の怠慢、原発(50基のうち48基は停止中)の再稼働によってより不安を大きくしている国の無反応、それにチェルノブイリの事故(1986年)以来最大の原発事故を起こした、日本の原子力技術の輸出にかんする将来の契約が加わるのである。
8月24日から中東を訪れた安部首相は、日本の原子力技術の奨励を目的として、福島の事故から引き出した「教訓」を交渉相手に売りつけている。事故を起こした原発の状況をみると、その商品カタログはいささか説得力に欠ける。さもなければ場違いである。事故の管理にたいする国の日和見主義、以前の機関より強化されてつくられたはずの放射能調整機関(2012年10月)の強権の欠如、朝日新聞は「日本は海外の信頼を損なった」と書いている。
東京電力は2012年10月、防護工事に着手すると原発を停止しなければならないことを怖れ、津波の危険性を過小評価していたことをやっと認めた。それ以後、事故の前後についての原発当事者の隠蔽、真偽半々、紛れもない嘘が続いて発覚した。監督省庁は事故原因を、作動装置まで至った自然災害によることは確かであると判断し、この惨事についての人的責任の問題を問わなかった。しかし国会の事故調査委員会の調査は、それが予測可能であり、あるいは少なくとも事故を最小限にとどめる措置はとり得たことを示した。利益は企業にとって原則である。しかし東京電力(そしておそらく、自然災害による「不運」に見舞われなかった他の原発当事者も)のように、人命を危険にさらすことを引き換えにしてよいというものではないであろう。汚染地域から避難した15万人の人びとが、いまだに仮設住宅で生活しているのである。
非難されるべき不透明性
東京電力は巨大な問題に直面した。現場で社員と下請けの労働者が、臆することなく大きな危険に身をさらしながら作業をしていることは敬意すべきことである。しかし経営陣はこの事故を、非難されるべき不透明性によって、依然として「内部」の問題として取り扱おうとしている。利益か原子力エネルギーの否定か、安全性か安全性の費用負担の拒否かについての判断がどのようなものであったとしても、福島の事故は原発当事者そして国による原発の管理、少なくとも危険性にたいする管理についての疑問をかき立てる。日本はフクシマによって、痛ましさを象徴するもののひとつとなっている。しかしそれはここに限ったことではない。
原発当事者、国の機関、研究分野の一部、そしてマスコミのあいだの共謀(日本では「原子力ムラ」と呼ばれている)という悲しむべき事態は日本に限らない。
2週間前に台湾の政府当局者は、日本の原発のひとつが3年ものあいだ汚染水を放出していたことを明らかにし、原子力の安全性についての討論の口火を切った。韓国では、世論が不安を抱いた。8月21日、ヨングァンの6基の原子炉が稼働を停止した。2012年11月に起こった原発部品の性能証明書の偽造というスキャンダルのあと、この偽造をもたらした汚職事件の調査のため、3基の原子炉が停止した。現在23基の原子炉を設置している韓国は、2030年までに新たに16基を建設する計画をもっている。これによって原子力発電のシェアは30%から59%に高まる。しかし原子力エネルギーに好意的な意見は、今年の調査で71%から35%に落ち込んだ。
福島の事故に続いて、原子力エネルギー―あるいは少なくともそれを管理する手段―にたいする信頼への危機は、日本列島を越えて広がることになるであろう。
Fukushima contamine la confiance dans le nucléaire Le Monde 26 août / Par Philippe Pons
Depuis près de deux ans et demi, des nouvelles aussi alarmantes que déprimantes arrivent de la centrale nucléaire de Fukushima, accidentée lors du tsunami du 11 mars 2011. Alarmantes, elles le sont par leurs conséquences : le 22 août, l'opérateur Tokyo Electric Power (Tepco) a estimé à 30 000 milliards de becquerels la quantité d'éléments radioactifs (césium et strontium) contenus dans les eaux souterraines qui se déversent dans l'océan Pacifique depuis mai 2011. Le 21 août, l'Autorité de régulation du nucléaire avait qualifié d'"incident grave" le déversement dans le Pacifique de 300 tonnes d'eau contaminée d'un réservoir défectueux. Sortant de son attentisme, l'organe de surveillance des activités nucléaires a finalement mis en cause Tepco deux jours plus tard pour ne pas avoir surveillé suffisamment ses réservoirs. Première conséquence : la pêche au large de Fukushima, qui avait repris en juin, sera arrêtée en septembre.
C'est par le manque de transparence qu'elles révèlent que ces nouvelles sont déprimantes. En décembre 2011, les autorités nucléaires avaient affirmé que la centrale était "stabilisée" ; ses réacteurs avaient été déclarés "en état d'arrêt à froid". Mais, depuis, surviennent à répétition des problèmes si graves que l'on peut se demander si, dans sa gestion des suites de l'accident, Tepco n'est pas en train de créer un nouveau désastre.
Aux carences de Tepco, visiblement dépassé par l'ampleur de la catastrophe, s'ajoute la passivité de l'Etat, qui semble plus préoccupé par le redémarrage des centrales (48 sur 50 sont à l'arrêt) et les futurs contrats d'exportation de la technologie nucléaire nippone que par le plus grave accident nucléaire depuis celui de Tchernobyl (1986).*
En tournée au Proche-Orient à partir du 24 août, le premier ministre, Shinzo Abe, vante auprès de ses interlocuteurs les "enseignements" tirés de l'accident de Fukushima pour promouvoir la technologie nucléaire japonaise... Au vu de la situation de la centrale accidentée, l'argumentaire paraît quelque peu affaibli, sinon déplacé. L'attentisme de l'Etat dans la gestion de la catastrophe et le manque de poigne de l'Autorité de régulation nucléaire, supposée à sa création (octobre 2012) être plus armée que la précédente instance pour se faire entendre, "entament la crédibilité du Japon à l'extérieur", écrit le quotidien Asahi.
En octobre 2012, Tepco avait fini par reconnaître avoir minimisé les risques de tsunami par crainte de devoir fermer la centrale pour procéder à des travaux. Depuis se sont succédé des révélations sur des dissimulations, des demi-vérités ou tout bonnement des mensonges de l'opérateur avant et après l'accident. Les autorités s'interrogent sur les causes de l'accident – attribué à une catastrophe naturelle qui en fut certes le déclencheur –, sans se poser de questions sur les responsabilités humaines de ce drame, alors que l'enquête d'une commission parlementaire a montré qu'il était prévisible ; ou, à tout le moins, que des mesures auraient pu être prises pour en limiter les effets. Le profit est la règle pour une entreprise, mais peut-être pas au prix d'une mise en danger de vies humaines comme l'a fait Tepco (et sans doute d'autres opérateurs qui n'ont pas eu la "malchance" de subir une catastrophe naturelle) : 150 000 personnes évacuées des zones contaminées vivent toujours dans des logements provisoires.
COUPABLE ABSENCE DE TRANSPARENCE
Tepco est confronté à des problèmes énormes et le dévouement sur le site de ses employés et de ceux des entreprises sous-traitantes qui prennent des risques considérables doit être salué. Mais la direction continue à chercher à traiter cette catastrophe "en interne", avec une coupable absence de transparence. Quel que soit le jugement que l'on porte sur les avantages ou non de l'énergie nucléaire et sur la sécurité ou non qu'elle offre, la catastrophe de Fukushima incite à s'interroger sur la gestion de cet outil, à tout le moins dangereux, par les opérateurs et les Etats. Avec Fukushima, le Japon est un cas tristement exemplaire. Mais il n'est pas le seul.
La collusion entre les opérateurs, les institutions étatiques, une partie du monde de la recherche et des grands médias (ce que l'on nomme, ici, le "village nucléaire") n'est pas le triste privilège du Japon.
Voilà deux semaines, les autorités taïwanaises ont révélé qu'une des centrales de l'île avait enregistré pendant trois ans des fuites d'eau contaminée, ouvrant un débat sur la sécurité du nucléaire. En Corée du Sud, l'opinion s'inquiète : le 21 août, un des six réacteurs de la centrale de Yeonggwang a cessé de fonctionner. A la suite d'un scandale de faux certificats de sécurité de pièces détachées, qui a éclaté en novembre 2012, trois réacteurs ont été arrêtés pour enquête sur les pots-de-vin qui ont accompagné ces falsifications. La Corée du Sud, qui dispose de 23 réacteurs, envisage d'en construire 16 autres d'ici à 2030, pour faire passer la part de l'électronucléaire de 30 % à 59 %. Mais le nombre de Coréens favorables à l'énergie nucléaire était tombé de 71 % à 35 % cette année.
Avivée par la catastrophe de Fukushima, la crise de confiance en l'énergie nucléaire – ou du moins en la manière dont elle est gérée – tend à s'étendre au-delà de l'Archipel.
★阿修羅♪ http://www.asyura2.com/
since 1995
スパムメールの中から見つけ出すためにメールのタイトルには必ず「阿修羅さんへ」と記述してください。
すべてのページの引用、転載、リンクを許可します。確認メールは不要です。引用元リンクを表示してください。
スパムメールの中から見つけ出すためにメールのタイトルには必ず「阿修羅さんへ」と記述してください。
すべてのページの引用、転載、リンクを許可します。確認メールは不要です。引用元リンクを表示してください。